Commentaires

Anna Stein est une artiste accomplie dont le talent et la créativité ont été reconnus et salués tout au long de sa carrière.

Son œuvre, riche et diversifiée, a capté l'attention et l'admiration de critiques, de collectionneurs et d'amateurs d'art du monde entier. Que ce soit à travers ses peintures, ses sculptures ou ses installations, Anna Stein parvient à exprimer une profondeur émotionnelle et une vision unique qui résonnent profondément avec son public.

Au fil des années, Anna Stein a reçu de nombreux éloges pour sa capacité à capturer des thèmes universels et intemporels tout en infusant son travail d'une perspective personnelle et innovante. Ses expositions ont été largement acclamées, tant dans des galeries renommées que lors de prestigieuses biennales.

Les critiques ont souvent souligné la maîtrise technique de Stein, ainsi que son audace à expérimenter avec des matériaux et des formes variés.

Vous trouverez ci-dessous plusieurs critiques et commentaires détaillant l'impact et l'importance du travail d'Anna Stein :

L’art d’Anna Stein est puissant, âpre, archaïque et contemporain. Une oeuvre crue, emplie de sécrétions vitales, tracée avec des gestes de matières fracassées. Il évoque un surgissement dur, implacable et sensible.Tendresse et blessure illuminent sans fin ses sculptures d’extrême densité.

Anna Stein peint les racines de tous les corps… Formidable terrienne, elle impose une peinture de vive santé exultée, à l’immense poids de terre ancienne et de chaos arrêté…Œuvre en crue emplie de secrétions vitales, à grands traits de matières fracassées. Dur implacable et sensible surgissement.

Christian NOORBERGEN - 2021

Anna Stein sculpte et peint l'air, l'eau, le feu, les forêts, les anges, les dieux, les héros, les sibylles, les footballeurs, les philosophes, les rois déchus, formant des récits fragmentés esquissés à partir de mythes grecs, de la Bible, d'instants de sa vie et d'événements historiques. 

Gilbert LASCAULT - 2001

Comme toute œuvre, la peinture d’Anna Stein comporte des racines du passé et la redécouverte des régions et des temps lointains. Ces bribes du subconscient sont en lutte avec l’à peine consciente… Chaque toile est un corps à corps, en même temps qu’un plongeon dans l’inconnu. Mais aussi chaque toile s’ouvre sur un jamais vu, jamais pressenti, jamais ressentie.

Lucien HERVE - 1978

Les oeuvres d'Anna Stein sont comme des ombres de rêves étranges, des voyages psychanalytiques émergeant de l'inconscient.

Fekete VALI - 2013

L'œuvre d'Anna Stein est ouverte sur l'histoire et la poésie, sur le mythe, le récit et l'émotion, sur le mémoire et l'instinct. Aussi reconnaît-elle que l'histoire de la peinture se confond, avec sa propre histoire, de laquelle ne pouvait éclore qu'une œuvre unique, marquée des fortes empreintes du passé. Le mystère, la joie, le drame, l'attente, l'espoir et la matière picturale sont consubstantiels. L'œuvre d'Anna Stein s'étend aujourd'hui sur quarante ans de création et s'enracine dans la Métamorphose.

Lydia HARAMBOURG - 1999

Anna Stein a dessiné des espaces indéfinis. Nonfiguratifs, ils n’en étaient cependant pas moins vivants. Lignes organiques, tons sensuels, effets d’écume et de flammèches, la vie était là, déjà, incarnée en d’étranges combinaisons de fluides et de vibrations. Une figure cristalline mais gorgée d’air, évoquant le dynamisme des corps en sublimant leur pesanteur. Anna Stein ne sculpte pas et ne peint pas des efforts mais des envols. Elles ne s’empoignent pas, elles s’effleurent, ménageant des entre-deux, des interstices propices aux courants d’air, des espaces indéterminés mais habités, gorgés d’énergie. Les corps représentés sont quasiment nus, comme le sont les âmes libres, dans les textes de Platon et les œuvres de Michel-Ange. Peintre de paradis pas perdus pour toujours, Anna campe donc des figures légères dans des espaces où coulent des rivières, où passent des nuages, où le vent bruissant dans les ramures n’en finit pas de murmurer des promesses. Chacune de ces œuvres évoque cette « aurore aux doigts de rose et au trône de safran », si chère à Homère.

Françoise MONNIN - 2006